91. Il est une heure du matin

Les rues sentent les roses, la glycine et les fleurs de marronnier en train de pourrir.

90. A Boulogne-Billancourt, les oiseaux chantent surtout entre deux et trois heures du matin

Et parfois c'est bien embêtant pour dormir.

89. Savages

Juste comme ça, je me suis retrouvée à écouter la bande originale de Pocahontas, hier soir, et puis je me suis rappelée à quel point certains moments étaient magnifiques, et ai re-découvert combien d'émotion dix secondes de musique peuvent porter.

Alors voilà, ce matin en sciences humaines j'ai gribouillé un peu sur mon carnet marron, sur deux ou trois phrases de la chanson "Des sauvage

s !" qui m'ont marquée, même si mes trente secondes préférées ne sont pas dans cette chanson-là, ni dans l'air du vent, ni dans aucune autre ch

anson, mais dans les deux dernières minutes de musique du film, c'est quand même cette chanson là que j'ai choisi. Ne cherchons pas la logique (et pour mes trente secondes préférées, j'ai un autre truc qui viendra plus tard).

Admirez au passage la méga-retouche, parce que, comme vous le savez (enfin, plus certainement, comme vous ne le savez pas), mon carnet marron est un carnet ligné. Ha ha.

(Et non, c'est pas dans l'ordre de la chanson, et oui, c'est vu et revu. Tant pis, je vous les montre comme je les ai faits.)

88. Passé

"Dis, Mamy, c'était comment quand tu étais petite ? "

Oh, tu sais, ma mamy, quand elle était petite, c'était la chouchoute. Et puis, petite, elle l'est restée, en fait. Comme moi, un peu. Et puis avant, elle vivait déjà à La Noë, là où Papa est né et là où j'ai grandi...

Et quand je parcoure les vieilles photos et que je retrouve sur un visage plus jeune ce même sourire que j'ai toujours connu et que j'adore, j'ai presque envie de pleurer. Je me sens stupidement sentimentale de raconter ça à deux heures du matin, mais c'est ce que j'ai envie de dire, là, maintenant.
Ma grand-mère parfaite, elle a été petite fille, adolescente, jeune femme. Je regarde les images, je la regarde sourire, et je vois une vie.

Et je l'aime.

A écouter : Mickey3d - Ma grand-mère

87. Même que des fois à l'ENSAD on travaille

86. Ne rien faire

Enfin, si, des croquis au lieu de bosser.

Donc, aujourd'hui, Ijaya. Vous voyez Lara Croft ? Ben vous la vieillissez de quelques années, vous forcissez sur le muscle, dégonflez un peu les trucs qu'elle a, là, devant, rallongez le short... bref, vous la rendez plus crédible, rajoutez des origines Indiennes, et vous obtenez Ijaya. Comment ça, c'est plus du tout la même chose ? Eh bien vous devrez vous en contenter.


Et puis une petite Ciele qui se la pète, parce que Ciele, c'était ma chouchoute de l'été. Et c'est ma chouchoute tout court, en fait.

(et en plus, elle se tape Will, la chanceuse !)

85. Tout en bas...

Ou le Mystère de l'Escalier Oublié.

84. La Renaissance

Non je ne suis pas morte et de retour dans un autre corps, même si je crois en la réincarnation.

La Renaissance, c'est juste le titre d'un bouquin.
Non, pas le mien, j'en suis pas (encore) là.

C'est le titre du livre de Marie, qu'elle a décidé de mettre sur thebookedition.com. Si vous voulez connaître le principe du site, allez donc voir, ça m'évitera de longues explications. ^^

En tout cas, devinez ?


Y'a pas de quoi être (un peu) fière ?
Je me suis occupée à la fois de l'illustration et de la maquette de la couverture, et je suis contente, quand même. Non seulement du résultat, mais contente aussi qu'il plaise à Marie, et surtout qu'elle ait enfin terminé La Renaissance ! J'ai hâte de le lire, en tout cas, parce que si j'ai beaucoup bossé sur la couverture, elle a bossé cent fois, mille fois plus à l'écrire et rien que pour ça, elle mérite un câlin d'honneur. ^^

Donc si vous aimez Marie, si vous m'aimez (xD), si vous avez envie de lire La Renaissance (qui ne parle pas du tout de la période du même nom, enfin, de ce que j'en sais) et de rire un peu, vous pouvez vous rendre ici :

Acheter La Renaissance !

Ou bien vous vous êtes déjà fait piéger et vous avez cliqué sur les images... =P

83. Le grand nettoyage

Oui, parce que parfois, il faut trier.

En ce moment je trie un peu partout, je jette des choses, j'en regarde d'autres avec nostalgie pour le stocker dans un coin, et je passe un coup de chiffon pour enlever la poussière et aller de l'avant.
Que ce soit chez moi ou ici. Enfin, ici c'est aussi chez moi, donc il n'y a pas de raison de ne pas trier.

J'ai laissé des choses que j'aime toujours ou qui ont bien vieilli, des choses qui me tiennent toujours à coeur. Le reste n'a pas disparu, il est juste caché, et nous en somme quand même au quatre-vingt-troisième article.

Donc voilà, j'espère que vous ne m'en voudrez pas, mais il était temps. C'est tout.

Et puis c'était ça ou un nouveau blog, mais toutes les adresses intéressantes étaient déjà prises, et puis je viens de refaire le design quand même, non mais !


Et puis pour terminer sur une note de bonne humeur, des petits Will qui sourient pour Jade, et aussi pour moi (un peu).

82. Derrière

On aura beau dire, j'aime bien les nénettes fessues.

Sinon, je suis sur Facebook, c'est le début de la fin.